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Jeunes reporters de CIS : à la rencontre du footballeur Thierry Bin

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Thierry Chantha Bin avec les élèves du programme bilingue français anglais de la CIS. Crédits : Pierre Motin / Lepetitjournal.com Cambodge
Écrit par CIS - Canadian International School of Phnom Penh
Publié le 11 décembre 2019, mis à jour le 9 janvier 2020

Comment devient-on joueur de football professionnel au Cambodge ? Quelles sont les qualités d’un bon footballeur, et quels conseils pour les jeunes qui voudraient percer dans le milieu du football professionnel ? Les élèves du programme bilingue de la Canadian International School ont posé leurs questions au footballeur franco-cambodgien Thierry Chantha Bin.

Dans le cadre de la série Jeunes reporters de CIS, Lisa, Max, Reach, Kotone, Luca et Abhi, élèves du programme bilingue français anglais à l’école canadienne internationale de Phnom Penh, ainsi que Lysandre, élève de l'école française internationale, ont posé leurs question à Thierry Chantha Bin, footballeur franco-cambodgien.

Max demande à Thierry Chantha Bin quelles sont les qualités requises pour devenir joueur de football professionnel. « Il faut être rigoureux, sérieux, toujours travailler plus que les autres pour pouvoir réussir dans le foot, indique Thierry Chantha Bin. L’hygiène de vie et le sommeil sont importants, on doit savoir prendre soin de soi tout en travaillant sur le terrain. » 

 

 

Reach s’interroge : qu’est-ce qui est le plus difficile dans la vie d’un joueur de football au Cambodge ? « Pour moi, la difficulté principale est l’éloignement avec ma famille, confie Thierry Chantha Bin. J’ai d’abord été en centre de formation à partir de 13 ans, et désormais ma famille est en France. C’est un sacrifice de ne pas avoir le soutien de sa famille près de soi tous les jours. » 

Ses plus beaux souvenirs de matchs ? « En club c’était l’année dernière, lors de la coupe de Malaisie avec 100 000 fans, c’est quelque chose que je n’oublierai jamais. Et avec la sélection nationale cambodgienne, c’était un match contre le Japon à domicile, j’étais capitaine. »

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