Simits croustillants, couteaux affûtés, cireurs de chaussures… Les métiers de rue en Turquie sont partout, mais pourquoi perdurent-ils autant ? Dans la saison 2 de Café Turc, immersion dans cet univers fascinant.


Plongée au cœur des métiers de rue avec le podcast Café Turc
Anne-Cécile partage avec nous son regard sur ces petits métiers qui rythment les rues de Turquie, au cœur de la nouvelle saison de son podcast.
La Turquie je l'ai découverte en voyage avec une amie il y a 20 ans et puis je m'y suis finalement installée en famille. Et c'est là que j'ai découvert le pays. Comme j'ai toujours aimé le son, je me suis dit qu'un podcast serait la meilleure manière d'appréhender la culture et la société turque !
Après une première saison avec Melissa, j'attaque désormais seule la deuxième saison. Plus de reportages, un seul regard et toujours l'envie d'en apprendre un peu plus sur la Turquie ! Le premier épisode sur la ferveur des supporters de foot est sorti début février. Je vous emmène cette fois à la rencontre des métiers de rue !
Ils seraient plus de 7 millions en Turquie à exercer ces petits métiers. Difficile si vous vous promenez à Istanbul de ne pas croiser un vendeur de simits, un rémouleur aiguisant ses couteaux, un vendeur de boza à la nuit tombée, un cireur de chaussures au coin de la rue, un ramasseur de ferraille, un vendeur d'ail, de fleurs ou de mouchoirs...

Pourquoi ces métiers de rue sont-ils encore aussi présents en Turquie ? Comment survivre avec des salaires si petits ? Pourquoi ont-ils une place aussi importante dans le cœur des Turcs ? Je suis partie les interroger dans mon quartier de Cihangir où ils sont encore très nombreux à parcourir les rues.

Pour écouter les épisodes de cette nouvelle saison, rendez-vous sur le site de l'Institut français de Turquie et sur spotify.
Et pour suivre toutes les actualités de « Café turc », rendez-vous sur le nouveau compte instagram @podcastcafeturc.
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