Depuis mardi, les avocats du Prince Harry contestent le refus par le Comité exécutif pour la Protection de la Royauté et des Personnalités (RAVEC) d’octroyer au duc de Sussex et à sa famille le droit de bénéficier de la sécurité de la police britannique. Face à cette décision, le Prince Harry avait lui-même proposé de financer cette sécurité pour sa famille, mais le refus a été maintenu.


La requête de Harry devant la cour de Justice
La demande faite devant le tribunal s’est déroulée en l’absence du principal intéressé et fait suite à la décision de 2020 prise par le RAVEC. Durant trois jours d’audition, le prince Harry, par l’intermédiaire de ses avocats, s’est exprimé.
Le ministère de l’Intérieur a affirmé que la sécurité du prince Harry devrait être décidée au cas par cas car sa situation était désormais différente. Le juge rendra, quant à lui, son jugement dans les semaines à venir.
“C'est avec une grande tristesse pour nous deux que ma femme et moi nous sommes sentis obligés de prendre du recul par rapport à ce rôle et de quitter le pays en 2020".
Les nombreuses révélations du duc de Sussex dans l’incapacité de revenir sur le sol britannique
Ces trois jours ont permis au duc de Sussex de donner sa version des faits, la plus grande annonce affirmant “C'est avec une grande tristesse pour nous deux que ma femme et moi nous sommes sentis obligés de prendre du recul par rapport à ce rôle et de quitter le pays en 2020".
Plus encore, le prince Harry a annoncé ne pas vouloir “mettre sa femme en danger de la sorte” , et être réticent à se “mettre inutilement en danger” lui-aussi.
Malgré les nombreuses tensions avec la cour royale britannique, le Royaume-Uni reste pour lui “au cœur de l'héritage de mes enfants et c'est un endroit où je veux qu'ils se sentent chez eux, autant que là où ils vivent actuellement aux États-Unis.”
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